« L’Etat peut baisser sa part, mais nous voulons conserver l’Alliance. Nous ne souhaitons pas une fusion. Nous faisons confiance aux managers de Nissan et de Renault », a déclaré dimanche à la presse Manuel Valls. De quoi ravir Ghosn. Pour une fois que Macron, « l’ami des patrons », faisait mine de s’opposer à l’un d’entre eux.