Deux résolutions soumises à l’AG des actionnaires ratifient l’accord passé entre l’État, Renault et Nissan suite au psychodrame créé en 2015 par le ministre de l’économie sur les droits de votes doubles. Au final, l’État renonce à ses droits de vote double (sauf cas exceptionnels), et à s’ingérer dans les décisions stratégiques de Nissan. C’était bien la peine que Macron joue les matamores.