Selon Senard, le ministre de l’économie aurait fait capoter la fusion entre Fiat et Renault car il demandait 5 jours de réflexion supplémentaires ! Qu’importe, pour les patrons, l’Etat ne doit pas se mêler des entreprises… sauf pour sauver les actionnaires de la banqueroute ou leur verser des subventions.
Quant à Bruno Le Maire, c’est le ministre des promesses aux salariés, mais qui laisse Ford fermer à Bordeaux ou GM&S licencier dans la Creuse. Le Maire promettait même de faire passer le Code du travail de 3700 à 150 pages s’il était désigné candidat de la Droite en 2017. Alors lui faire confiance pour défendre les salariés de Renault…