Les investissements nécessaires au développement de véhicules autonomes, connectés et non polluants auraient motivé le projet de fusion avec Fiat, selon la direction de Renault. Celle-ci dispose pourtant de 3,5 milliards d’euros de trésorerie, sans compter les milliards d’euros versés au fil des ans en dividendes, primes ou actions gratuites pour les dirigeants…