Microsoft a dû abandonner fin 2013 son système d’évaluation des salariés : le Stack ranking (classement par pile). Sa subjectivité, les contestations et la compétition entre salariés ont sonné le glas de ce dispositif devenu contreproductif.
Le Stack ranking consistait à classer les salariés en 4 niveaux (top performer, good performers, average, poor), puis à faire un classement à l’intérieur de ces niveaux selon des quotas. Les premiers bénéficiaient des meilleures primes et promotions. Les « maillons faibles » étaient, eux, invités à quitter l’entreprise.
Toute ressemblance avec des systèmes d’évaluation existants à Renault ne saurait être que fortuite.