Dans la boite à questions de la DEQIG d’octobre 2013 sur Intranet, J-M Billig, le nouveau directeur de l’ingénierie, répond aux questions « sur les mobilités qui accompagneront les cas d’activités externalisées. Très concrètement, les collaborateurs concernés pourront choisir sur la base du volontariat, entre plusieurs possibilités : poursuivre dans leur métier en allant chez le partenaire, se reconvertir dans une fonction de pilotage de l’activité externalisée, se réorienter vers une activité cœur de métier. »
Le pilotage concernera au mieux 20 % des salariés non cœur. Quant à se réorienter vers une activité cœur de métier, les effectifs sont réduits partout et les formations sont quasi-inexistantes. L’accord compétitivité prévoit d’externaliser « les activités d’ingénierie non cœur de métier correspondant à l’activité de 1000 personnes ». Où recaser les 800 salariés qui ne feront pas de pilotage ?! Inacceptable.