Le rapport annuel des médecins et infirmières du travail présenté au dernier CE, pointe du doigt un « sous-effectif de médecins » et un manque de moyens. De plus en plus sollicités par des « salariés en difficulté » du fait du « manque de moyens humains », des « réorganisations des services » et des « craintes réelles pour l’emploi et l’avenir de l’entreprise », notamment chez les salariés classés en postes sensibles par la GPEC, ceux-ci observent une recrudescence des « risques psychosociaux ». La direction ne pourra pas dire qu’elle ne savait pas.