Avec la suppression du CEF et la remise en cause des accords locaux en usine, ce sont l’équivalent de 4 à 21 jours supplémentaires, comme à Cléon, qui seraient travaillés par an. Une augmentation du temps de travail chiffrée à +6,5 % par Renault. Moins il y a de travail, plus on travaille : logique, non !?