Tavares a semé le doute à l’Open Forum, répondant que sur l’emploi « nous n’excluons rien. » Et d’expliquer que c’est « l’optimisation des ressources humaines » qui permettra de se sortir de la crise. Chez Ghosn, même son de cloche : « Aujourd’hui, le principal sujet de Renault, notre urgence même, c’est notre compétitivité en France [qui] est un sujet de survie. »
Pourtant dans Le Figaro, Ghosn affirme que « notre situation financière n’est pas préoccupante ». Les Echos annonce même une augmentation des dividendes versés par Renault au printemps prochain. Le discours alarmiste est surtout réservé aux salariés.