Ghosn et Tavares sont au diapason pour réclamer une amélioration de la « compétitivité » des usines Renault en France, condition du maintien de l’emploi. La direction a réuni les syndicats 4 fois depuis le 21 juin en vue d’aboutir à un accord « compétitivité-emploi ». Deux autres réunion sont prévues le 8 et le 23 octobre. Mais qu’est-ce qui s’y discute ? Mystère.