500 salariés de Sandouville sur 2400 devront aller à Cléon en septembre. A Douai, plus de 1 000 salariés sont détachés vers d’autres sites. Avec l’organisation actuelle des usines, ce sont les salariés qui doivent prendre leur baluchon. Et si on faisait l’inverse : répartir la production selon les effectifs ?