Christian Estrosi, l’ex-ministre de l’industrie, a dénoncé sur France Info jeudi dernier « le mensonge permanent des dirigeants de Renault », coupables à ses yeux de « faire produire par Nissan les batteries électriques de l’usine de Flins » et de ne jamais tenir leurs engagements. Et il en connaît un rayon.
Mais le scandale est que les embauches prévues auront non seulement au moins un an et demi de retard, mais qu’elles passeront de 550 à 220. Et les subventions, elles seront aussi divisées par deux ?