Le 21 septembre, la cour d’appel de Toulouse a ordonné de « suspendre » le système d’évaluation des cadres d’Airbus en France, « the Airbus Way », car il intègre « certains critères comportementaux non conformes aux exigences légales ».
La justice a ainsi donné raison à la CGT qui demandait l’interdiction de la prise en compte de critères de comportement dans l’octroi des primes aux cadres. Airbus revendiquait d’évaluer non seulement leurs résultats, mais aussi leur défense des « valeurs » de l’entreprise. Un système semblable à « Renault Way » que la direction veut déployer afin d’évaluer dans les entretiens le « savoir être ». Tout aussi légal ?