Les salariés de la Fonderie du Poitou, vendue par Renault en 1999, sont en grève depuis vendredi 2 septembre contre un plan de « compétitivité » : baisse de salaire de 15%, passage de 38h50 à 35h pour les ouvriers (soit 8% de baisse de salaire supplémentaire), perte de 14 RTT pour les ETAM.
Leur direction les menace d‘un plan social s’ils ne plient pas. Un chantage inacceptable.