Dans une dépêche interne, la direction se félicite de la « conclusion positive portant sur la réparation du préjudice » subi par les 3 cadres injustement licenciés pour espionnage. Avec même un trophée pour Renault qui ramène l’un des 3 au bercail.
Pas un mot sur le montant des réparations, sauf l’insistance de la direction à annoncer que celles-ci seront payées par les bonus du top management responsable de l’affaire. Mais ils venaient d’où ces bonus ?