Le 29 avril, l’AG des actionnaires doit voter sur un système d’attribution de stock-options et d’« actions de performance » aux salariés. Celles-ci seront conditionnées à l’atteinte d’objectifs de marge opérationnelle et de free cash flow. Alors que la part fixe des rémunérations décroche, le but des gros actionnaires est de faire miroiter aux salariés le versement d’une part variable pour qu’ils crachent du cash. Mais c’est la réduction de la part variable (primes de performance, d’intéressement…) qui a le plus pesé dans les pertes de revenus des deux années passées.