Depuis le 3 novembre, la société Seris a repris la sécurité des sites Renault de la Région Parisienne. Au Technocentre, un quart des salariés Samsic a refusé de signer chez Seris un contrat au rabais, d’où un manque actuel de personnel formé. Les récalcitrants ont été convoqués par Samsic à des entretiens en vue de « sanctions disciplinaires pouvant aller jusqu’au licenciement » ! C’est pourtant Samsic qui est en faute et doit proposer des reclassements. Un appel à la grève a forcé Samsic à reculer sur ces sanctions. Il n’y a que le rapport de force qui compte.