Dans la plaquette envoyée à chaque salarié en décembre, la liste des compétences critiques a grossi au point d’occuper les deux tiers du « Référentiel compétences ». Sous l’effet des nombreux départs non remplacés, certains métiers sont passés de sensibles ou stables à critiques. Et la charge de travail s’en ressent.
A l’inverse, les métiers techniques des essais et des prototypes sont classés sensibles, et font les frais de la numérisation (V3P) et du choix de la direction de les délocaliser dans les RTX. La soi-disant Gestion Dynamique des Compétences vise surtout à réduire les coûts… sur le dos des salariés.