Suite aux déclarations de Royal et de Macron, volant aux secours de la direction de Renault, celle-ci s’est félicitée dans un communiqué que « la procédure en cours ne mettrait pas en évidence la présence d’un logiciel truqueur équipant les véhicules Renault ». Ce serait même une « bonne nouvelle » ! Dit comme ça, ce n’est pas très rassurant.