Dans le cadre de l’accord compétitivité, la direction promet d’instaurer un « dialogue sur la qualité de vie au travail ». Un serpent de mer depuis les cercles de qualité. A Renault Flins, des « ouvriers référents » ont été désignés pour faire remonter les problèmes et des idées d’amélioration du travail. Mais l’expérience a tourné court, la direction n’étant pas prête à tout entendre. Et l’augmentation de la charge de travail ne donne plus le temps d’avoir ces échanges.
Moralité : il faudra prendre la parole sans qu’on nous la donne, et pas dans un cadre fixé par la direction.