Le mercenaire

Moinard, le directeur du CRP, part pour Douai. Personne ne regrettera ses méthodes militaires, son obsession des délais (au détriment de la sécurité et de la qualité), son mépris pour les salariés, son anti-syndicalisme… Après Sandouville et le CRP, Ghosn a dû le charger d’appliquer à Douai la cure de compétitivité prévue dans le nouvel accord. Aux collègues de Douai de lui faire l’accueil qu’il mérite.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *