Ce n’est pas pour rien que dans le nouvel accord compétitivité, les jours de RTT (Réduction du Temps de Travail) issus de l’accord 35h de 1999 deviennent des « jours d’ajustement ». Ils pourront être imposés au niveau d’une UET en période de « basse activité » avec un délai de prévenance de 2 jours. L’accord prévoit même de les réduire à 5 par an au lieu de 10 si le temps de travail annuel est inférieur à 1603h (selon par exemple le nombre de fériés tombant un jour ouvré). Pour les patrons, la réduction du temps de travail est un gros mot : place à la flexibilité !