Alors que l’État français détient 19 % du capital de Renault, Macron s’opposerait-il aux appétits de Ghosn s’il était élu ? Rappelons qu’en 2015, le ministre de l’économie Macron a soutenu le rachat de la branche Energie d’Alstom par General Electric. Et que face aux menaces de fermeture d’Alstom Belfort, le candidat d’En Marche a déclaré que « ce n’est pas parce que l’Etat a 20 % des droits de vote qu’il peut empêcher » cette fermeture. On est prévenu.