Il s’était pourtant excusé « du fond du cœur », Hiroto Saikawa, suite à la fraude découverte lors d’une inspection du ministère des transports. Depuis des années, Nissan fait contrôler ses véhicules par du personnel non homologué. Le PDG de Nissan, qui vient de remplacer Ghosn, doit rappeler 1,2 millions de véhicules produits depuis 2014. Mais la fraude a continué malgré les excuses du PDG, l’obligeant à suspendre la production au Japon. En 2016, le patron de Mitsubishi avait dû démissionner après un scandale de fraude aux tests d’homologation. C’est Ghosn qui est parti à temps : un vrai visionnaire.