Mercredi 3 janvier, une cinquantaine de chauffeurs de VTC se sont invités à Mercedes-Daimler à Rueil puis à Renault à Guyancourt. Ils protestaient contre les plateformes de VTC (et leurs propriétaires comme Mercedes, avec « Chauffeur Privé », ou Renault, avec « Marcel ») qui les exploitent pour 4 euros de l’heure ou les radient arbitrairement. Les chauffeurs ont réussi à pénétrer dans les halls de l’Avancée et de la Ruche, ou à l’aide de mégaphone et d’affiches, ils ont rappelé qu’ils ne sont pas prêts à accepter « l’esclavage moderne ». Ils ont raison.