En échange des DA, la direction annonce 1400 embauches. Pas sûr que ça compense les départs (qui eux ne sont pas chiffrés), ni les emplois perdus depuis le premier accord compétitivité de 2013. La charge de travail ne cesse d’augmenter, et Ghosn impose 10 milliards par an d’économie supplémentaire en synergies Renault/Nissan. Les milliards de bénéfices de Renault doivent servir à embaucher, pas à engraisser les actionnaires.