L’Humanité a publié des accords passés en 2014 entre GM&S, PSA et Renault. Ils montrent que l’équipementier creusois, dont les salariés se sont opposés à la liquidation en 2017, était sous le con-trôle des deux constructeurs. La reprise de GM&S a fait 157 licenciés, dont la plupart pointe au chômage. C’est aux véritables responsables d’en assumer les conséquences et d’indemniser les salariés de GM&S.