Un autre médecin « regrette que l’épuisement professionnel, les effets délétères des Risques Psycho-Sociaux ne soient pas reconnus officiellement comme une maladie professionnelle ». Il mentionne des cas de salariés qui « n’ont pas souhaité faire de déclaration, de crainte de devoir quitter l’entreprise ou de perdre des chances de reclassement interne. »
Pour ne pas finir malade de son travail, n’acceptons plus ce système qui broie les individus : optons pour la résistance et la lutte collective !