Depuis cet été, Ghosn a droit au Liban à un timbre à son effigie. Pour l’occasion, une cérémonie a eu lieu au luxueux « Yacht Club » de Beyrouth. Ghosn y a déclaré que s’il a investi « dans le vin, les services financiers, l’immobilier ou la publication » au Liban, c’est bien sûr pour « aider son pays en contribuant à son développement économique ». Quelle générosité ! Bientôt, il va déclarer que s’il gagne 15 millions d’euros par an, c’est pour le bien des salariés de Renault et Nissan.