Les mauvais résultats commerciaux en Europe servent à faire passer la casse sociale menée au nom de la compétitivité à Renault, comme à PSA.
Mais si les ventes européennes d’automobiles baissent, à qui la faute ? Aux travailleurs pas assez compétitifs ou à leurs portefeuilles mis à plat par la rigueur et les licenciements partout en Europe ?
Quant aux grands groupes financiaro-industriels, responsables de la crise, ils continuent à faire la loi.