Après PSA, les sites Renault de Douai, Sandouville, Flins ou Novo Mesto vont encore faire du chômage partiel. Il s’agit d’écouler les stocks pour faire du Free Cash Flow alors que l’activité, selon la direction elle-même, reste forte. Flexibilité, alternance de chômage et de cadences de plus en plus fortes : les salariés eux ne s’y habituent toujours pas.