Un nouvel accord compétitivité est en passe d’être imposé par Renault en Espagne. Le nombre de samedis et dimanches travaillés est porté à 20 par an. Les salariés devront aussi travailler 4 jours de plus (dont 3 « jours de compétitivité » imposés en cas de besoin), ainsi que le week-end au « volontariat ». Côté salaires, c’est vache maigre : +3,5 % sur 4 ans.
Les usines espagnoles font pourtant du profit, mais ce n’est jamais assez pour Ghosn et ses actionnaires.