La Cour des Comptes s’en prend à la gestion par le gouvernement de ses participations dans les entreprises. Et Macron en prend pour son grade : l’augmentation de la part de l’État dans le capital de Renault, payée au prix fort, a irrité ses dirigeants… sans avoir d’effet sur la rémunération de son PDG.
La direction de Renault, auditionnée par la Cour, a renchéri : l’intervention de l’État aurait donné une mauvaise réputation à Renault. Pourtant la mauvaise réputation, le multi-PDG multi-millionnaire Ghosn s’en charge très bien tout seul.