Le 21 mars, des collègues prestataires d’AKKA étaient en grève pour la 3ème fois contre la baisse de leurs frais de mission (de 200 à 900 € par mois). Ils ont manifesté devant le siège d’AKKA à Boulogne.
Face à la grogne, la direction d’AKKA propose à certains des arrangements individuels, qui sont loin de compenser les pertes : dérogations sur les
remboursements, petite augmentation de salaire…
Elle recule un peu suite aux actions collectives. La preuve que c’est dans ce sens-là qu’il faut continuer.