Le diesel ou l’essence du capitalisme

La direction a laissé fuiter dans la presse des propos de Bolloré : le Directeur délégué à la compétitivité de Renault s’interrogerait sur le maintien du diesel sur les segments B et C. En cause : la hausse des coûts pour respecter les normes, et la tendance à la baisse des ventes de véhicules diesel. Bref : le diesel ne serait bientôt plus suffisamment rentable.
Ce n’est ni l’impact sur la santé, l’environnement ou l’emploi qui dictent les choix des dirigeants de Renault, mais les profits. Qu’importe la casse.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *