Le chiffre d’affaires du groupe Renault a décollé de 25 % au premier trimestre 2017 par rapport à 2016. L’annonce a boosté l’action Renault, tant les traders se frottent déjà les mains en perspective des profits juteux. Ils n’y sont pourtant pour rien : ils se contentent de jouer en Bourse et de ramasser la mise.
Ceux qui créent de la valeur, ce sont les salariés, qu’ils soient Renault, intérimaires, prestataires, chez les fournisseurs…
Mais leur travail, les patrons n’ont de cesse d’en réduire le « coût », une véritable obsession car les actionnaires n’en ont jamais assez.
C’est ce système qui crée chômage et inégalités. Et il ne faut compter ni sur Macron, ni sur Le Pen pour s’en prendre à ce système-là.