L’accord de compétitivité prévoit le transfert à des prestataires des « activités d’ingénierie non cœur de métier correspondant à l’équivalent de l’activité de 1 000 personnes. » Secteurs visés : conception détaillée, développement après les phases d’architecture générale ou encore validation des sous-systèmes. Le projet doit passer à un CCE sur l’ingénierie en avril avant de pouvoir être appliqué.
La direction présente cette externalisation d’un millier de salariés Renault comme un « renforcement de la filière auto France » ! Mais les salariés des secteurs concernés ne sont pas des pions.