Deux jours de grève.
C’est ce qu’il a fallu aux salariés de la Centrale thermique de Cléon en juin dernier pour obtenir ce que la direction leur refusait depuis des mois, à savoir les mêmes primes et compensations que les salariés des autres centrales Renault. Résultat obtenu : 20 % d’augmentation de salaire.
Une grève qui vaut mieux que des discours.