En 2012, l’Etat et l’Union Européenne ont largement arrosé Renault : 171 millions d’euros (165 en 2011), dont 120 en crédit d’impôts recherche. Ils contribuent ainsi pour 135 millions à la marge opérationnelle et pour 47 millions au Free Cash Flow. De l’argent public qui permet à Renault de se désendetter, d’augmenter les dividendes et la PPG.