Première étape du nouveau plan de convergence Renault/Nissan/Mitsubishi « Alliance 2022 » : la nomination de 9 vice-présidents rattachés directement à Carlos Ghosn. Le PDG de l’Alliance exige de ses seconds couteaux (qu’ils viennent de Renault ou de Nissan) de dégager 10 milliards d’économies de synergies par an, au lieu de 5, pour augmenter toujours plus la marge opérationnelle et verser de dividendes aux actionnaires. Le problème, ce n’est pas l’alliance en soi, mais qu’elle se fait sur le dos des salariés.