En 2013, Renault a touché 211 millions d’euros d’aides et de subventions (Crédit Impôt Recherche, Crédit Impôt Compétitivité Emploi…). Dans le même temps, des milliers d’emplois ont été supprimés (7 500 suppressions d’emplois nettes prévus d’ici 2016), les salaires ont été quasi gelés, et les réorganisations ont aggravé les conditions de travail.
Renault n’est pas une exception. Les patrons sont abreuvés d’argent public au détriment des services publics et des conditions de vie de l’ensemble de la population. Et ce sont en plus les contribuables qui financent ces aides publiques !