Le Brésil, nouvel eldorado des constructeurs français, n’est pas de tout repos. La semaine dernière, Renault et Nissan ont dû fermer leurs sites brésiliens et annuler les missions vers le Brésil. La raison ? La grève des routiers contre la hausse des carburants, massivement soutenue par la population, et qui s’est étendue aux raffineries. Après avoir envoyé l’armée, le gouvernement a baissé le Diesel de 12 %, alors qu’il a augmenté de 200 % en deux ans. Pas sûr que Renault Brésil ait augmenté d’autant les salaires…