Pour la direction, le nouvel accord serait un simple « accord pluriannuel ». Comme lors du précédent accord de mars 2013 (que les signataires ont appelé « contrat pour une nouvelle dynamique de croissance et de développement de Renault en France »), il ne faut surtout pas parler d’accord de « compétitivité ». Pourtant ce nouvel accord va dégrader les conditions de travail et accroitre la flexibilité. Son objectif est d’augmenter les profits, pas le bien-être des salariés.