Un reportage de France Info publié ce weekend révèle les « zones d’ombres » du « PDG le mieux payé de France ». Avec 15 millions d’euros en 2017, c’est effectivement trois fois plus que le salaire moyen des autres dirigeants du CAC40. Une belle performance alors que Ghosn était censé avoir accepté en 2016 de baisser son salaire chez Renault de 30 %. C’était sans compter les centaines de milliers d’actions gratuites et de stock-options que le conseil d’administration lui verse copieusement.