En janvier 2013, Segula comptait 146 salariés en intermission virés par des clients (dont Renault), dont 46 en chômage partiel. Des salariés se voient proposer des licenciements avec transaction financière. 37 ont même été licenciés pour faute grave pour ne pas être venus à une formation ou l’avoir perturbée : on trouve les prétextes qu’on peut.