80 % des véhicules fabriqués après 2016 devraient l’être sur des plateformes communes Renault-Nissan. La part des modules communs devrait aussi doubler. C’est l’objectif de Ghosn.
Mais ces synergies signifieront-elles un travail commun ou une mise en concurrence des bureaux d’études de Renault et de Nissan ? Qui concevra ces plateformes et ces modules, alors que la baisse des effectifs de l’Ingénierie au Technocentre met en danger ses capacités d’études ? Pour briser ce cercle infernal, il faut embaucher.