La justice a annulé le licenciement d’un prestataire du Technocentre, accusé en 2016 d’avoir écrit un mail aux syndicats de Renault où il vantait les mérites du film « Merci patron ». Un représentant de la CGC s’en était plaint auprès de la direction qui l’avait interdit de site. Sa société l’avait ensuite licencié pour avoir rendu l’affaire publique. Le tribunal a jugé que les motifs de ce licenciement portaient « atteinte à la liberté d’expression » et à la « libre communication avec les syndicats de Renault ». Conclusion : les prestataires ont le droit de s’exprimer et de contacter les syndicats de Renault. On sait désormais lequel ne pas contacter.