« Je ne peux plus rien assumer, ce boulot c’est trop pour moi, ils vont me licencier et je suis fini » : ce sont les derniers mots de Raymond écrits juste avant son suicide en février 2007. Ce technicien en passage cadre travaillait au Technocentre puis chez lui, parfois jusqu’à 4h du matin.
Sa veuve a donc demandé aux Prud’hommes de Versailles de reconnaitre les heures supplémentaires de son mari, ce que Renault conteste. Les conseillers prudhommaux, n’ayant pu trancher, ont renvoyé l’affaire devant un juge départiteur. Verdict au printemps prochain, si tout va bien.