Le Financial Times a dévoilé le nom de celui qui aurait permis à la justice japonaise d’inculper Ghosn : Hari Nada, un vétéran de Nissan, prédécesseur de Greg Kelly, et un des très proches de Carlos Ghosn. D’après ses déclarations, « le fardeau était devenu trop lourd à porter pour lui ». A moins qu’il n’ait été poussé à faire ses révélations par Saikawa, le directeur de Nissan et rival de Ghosn. On n’est jamais trahi que par les siens.