La direction a embauché un cabinet de consultants pour « simplifier la structure de la rémunération » de Ghosn et « améliorer sa transparence ». Elle veut éviter le pataquès de 2016 en amadouant les actionnaires, dont le vote sur la rémunération du PDG est désormais contraignant. Résultat : Ghosn garde une part fixe de 1,23 millions d’euros, et ses 100 000 actions gratuites évaluées 4,36 millions (ce qui est sous-évalué vu le cours de l’action Renault). Sa part variable passe de 150 à 120 % de sa part fixe (soit 1,42 millions). Mais elle peut atteindre 180 % en cas de résultats exceptionnels ! Il n’est pas dit que sa rémunération baisse comme des médias l’annoncent. Trop fort la com’ de Renault !